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Son ambition, démesurée comme il se doit, consiste à réunir hebdomadairement des fans de binouses-cacahuètes du PSG, des fadas de pastis-chips de l'OM et des amateurs de bières artisanales de l'OL devant des mojitos sur de la britpop canadienne. (leur page facebook)
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« Le Motel, c'est comme être à la maison, sauf qu'il y a plus de bières et plus de filles aussi, parfois. » (le Klub des Loosers)
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C'était au siècle dernier, peu après la grande bataille de la Britpop : Ils étaient trois et s'ennuyaient dans leurs boulots, il faut dire que deux d'entre eux travaillaient dans la banque, on n'a pas idée aussi. Quand on aime le rock et boire des coups, on finit par ouvrir un bar, ce n'est pas une fatalité, juste dans l'ordre des choses. Le Pop In est né en 1997, plus qu'un bar, c'est devenu très vite une affaire de famille. (Etienne Greib)
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La première chose qu'on se demande quand on rentre au Truskel, c'est, comment des groupes comme les Strokes ou les Franz Ferdinand ont pu faire leurs after shows ici, ok c'est pas si petit que ça mais ce n'est pas si grand non plus ! Comme quoi ça n'est pas la taille qui compte... Attention, comme le veut la tradition anglaise, les mecs sont souvent bourrés et chiants en fin de soirée, fuyez un peu avant la fermeture pour éviter de vous prendre une pinte en pleine gueule. (Parisbouge.com)
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À Paris, il y a 20 ans, Le Piano était le seul troquet où l'on pouvait écouter du rock. Nombre de critiques rock ont fait leurs premières armes dans cet invraisemblable bastion. Qui n'a pas vu les Coronados dans l'arrière-salle ou n'est pas descendu jusqu'aux toilettes du Piano ne sait pas ce qu'est la rock'n'roll attitude. Derrière tout ça, il y a Richard, le Jean-Pierre Marielle de l'underground new wave. Son décor inimitable a servi au cinéma dans le Péril Jeune de Klapisch, ainsi que de nombreux clips.